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Publication mise en avant

Lectures : Actes 9 v 1-8, 1 Corinthiens v 8-1, 2 Corinthiens v17-21

Chers amis,

Les textes qui nous ont été lus nous donnent le moment crucial de l’histoire bien connue de Paul, le moment de son retournement comme on dit dans les services secrets d’un agent ennemi qui passe dans l’autre camp. Ils nous plantent le décor avec le cas de Saul de Tarse devenu

Poursuivre la lecture de : Culpabilité et pardon, par Jean-Gabriel Bliek

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Qui suis-je ? Qu’est-ce qui fonde mon identité ? Comment est-ce que je me vois, comment est-ce que je parle de moi ? La foi joue-t-elle un rôle concernant mon identité et la perception que j’ai de moi-même au sein d’un monde qui déshumanise parfois l’individu et le réduit à ses réussites ou à ses échecs ? Telles sont les questions que pose la thématique de l’identité abordée par la psychologie, la sociologie, l’anthropologie, la philosophie ou encore la théologie qui emprunte des éléments à toutes ces disciplines, en regard de l’aspect théologique propre.

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Les différentes traditions chrétiennes ignorent le vocabulaire : « tentation du bien ». Le mot « tentation » est traditionnellement lié au péché ou au mal. Les quelques auteurs bibliques qui l’emploient l’utilisent d’ailleurs en regard du mal auquel il faut résister. Le dictionnaire Larousse s’en fait lui-même le reflet en indiquant que la tentation est : « ce qui porte à enfreindre une loi religieuse ou morale. Elle est une impulsion qui pousse au péché, au mal, en éveillant le désir. » Mais qui a dit, cependant, au Larousse que le désir était systématiquement enclin au mal ? L’humain est certes un être de désirs, mais pourquoi considérer le désir de façon péjorative ? On voit bien ici que le dictionnaire est influencé par la vision négative du corps et de la chair du catholicisme classique.

Poursuivre la lecture de : La tentation du bien est-elle plus dangereuse que la tentation du mal ? par Bruno Gaudelet
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Introduction

Dans ces cultes-concerts du nouvel an que nous consacrons à un compositeur éminent, la prédication ambitionne de méditer un aspect spécifique en lien avec l’œuvre du maestro. Bach, chantre officiel de l’Eglise luthérienne, nous a fait réfléchir à la place de la musique durant le culte. Mozart, auteur de la messe du Requiem, nous a conduits à une réflexion sur « l’avoir à mourir ». En songeant à Mendelssohn, c’est tout naturellement sa marche nuptiale, universellement connue, même par ceux qui ne connaissent pas Mendelssohn, qui s’est imposée à mon esprit.

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