« On a un futur tant que l’on ne sait pas qu’on n’a pas de futur. Le refoulement de la mort est la volonté de vivre ».
Par ces mots, le philosophe Hans Georg Gadamer indique qu’il n’y a rien de plus humain que d’essayer d’oublier, de refuser ou de rejeter la mort, quitte à ruser avec elle ou à tenter de l’apprivoiser par la religion, la philosophie et peut-être même, aujourd’hui et demain, par les sciences.
De temps en temps, il faut cependant savoir contenir sa répulsion et transmettre à son entourage ce qu’il faudrait qu’il advienne lorsque notre âme et notre corps ne seront plus d’accord (dixit Georges Brassens). Voilà pourquoi il m’a paru important d’ouvrir ici la réflexion.
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