L’objectif était ambitieux : trois soirées du 27 au 29 novembre,, au temple, à l’église puis à la synagogue, pour traiter un sujet brûlant et controversé – le transhumanisme. Les intervenants venaient de toutes les sphères du savoir et de la société : philosophie, science, politique, histoire et théologie ; trop nombreux pour être tous cités. Il serait également vain de vouloir en quelques mots résumer la substance des présentations et des débats. Je me contenterai de souligner deux perspectives.
